Nord-Kivu: Les assassins des élèves finalistes d’école primaire à massisi identifiés.
48 heures après l’assassinat des deux élèves finalistes lors de passation du Test National de Fin d’Études Primaires (TENAFEP) dans le territoire de Masisi au Nord-Kivu le gouvernement provincial dit avoir identifiés les auteurs.
« le gouvernement provincial avance un bilan de 2 élèves de sexe masculin tués dont un par balles et un autre noyé dans une rivière les auteurs sont déjà identifiés », annonce le gouvernement provincial qui assure que « cet acte ne restera pas impuni »
L’exécutif provincial, affirme que l’attaque a été perpétrée par des rebelles Maï-Maï conduits par le seigneur de guerre autoproclamé Bahati Kibira Kapasi contre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, conclu le communiqué officiel.
Dans un communiqué officiel publié vendredi 28 aout 2020 dans la soirée, le gouvernement provincial dit être consterné par cet ieme assassinat.
« C’est avec consternation, que le gouvernement provincial du Nord-Kivu a appris la triste nouvelle faisant état de la mort de deux élèves de sexe masculin dont un par coups de feu, et l’autre noyé dans la rivière Lwindi, finaliste du centre Katanga, de passation du TENAFEP situé dans le groupement Nyamaboko 2, secteur Katoyi, territoire de Masisi », rapporte Jean-Bosco Sebishimbo, ministre provincial de l’intérieur et porte-parole du gouvernement provincial.
Via twitter, le service de communication de la présidence de la République a affirmé que le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi, a appris avec « consternation cet acte ignoble » et réitéré son engagement à mettre un terme à ce cycle des violences.
Les auteurs de ce crime ont été par les services de sécurité et leur chef de fil qui sont déjà sur la trousse de services de pour leur arrestation afin qu’ils répondent de leur.
La tuerie des élèves finalistes du primaire dans un centre de passation du Test National de Fin d’Études Primaires (TENAFEP) dans le territoire de Masisi au Nord-Kivu par des rebelles le jeudi 27 août dernier, inquiète les autorités congolaises à tous les niveaux.
Redaction