Bukavu : Pourquoi, la mairie ignore les conséquences des eaux résiduaires urbaines ?
Alors dans chaque ville moderne, l’hôtel de ville élabore le plan de gestion des eaux usées ; à Bukavu ce plan n’existe pas selon les acteurs de la société civile environnementale qui veulent que le maire Zénon KARUMBA se réveil de son grand sommeil.
L’actuel maire de la ville détruit les bâtisses le long des artères de la route mais il ne connait pas que l’eau qu’il l’avait les mains comme le corps finit sa course sur la route et expose la vie des passants a dit à www.bkinfos.net monsieur LADISLAS WITANENE de la société civile environnementale
Dans les grandes villes, l’état fait le business de la taxation auprès des gens qui déversent leurs eaux usées à ciel ouvert, chez nous les autorités dorment ; enchaine notre source.
LADISLAS WITANENE renchérit que le dernier maire de la ville de Bukavu qui a parlé superficiellement des eaux usées, c’était le maire honoraire Philemon YOGOLELO qui a fait une tournée de sensibilisation et d’interdiction de déversement des eaux usées dans les ravins le long des artères mais depuis son départ personne autre n’y a pensé.
Ces eaux usées remplis des micropolluants (une substance minérale, biologique, organique, radioactive à très faibles concentrations, engendrer des effets négatifs sur les organismes vivants en raison de leur toxicité, de leur persistance et de leur bioaccumulation.
La société civile environnementale qui constate l’absence de traitement spécifique de ces eaux-là , recommande à la mairie de de Bukavu de réhabiliter les stations d’épuration existantes qui vont permettent d’ores et déjà de réduire de façon significative les rejets d’un nombre important de ces eaux dans la nature afin de réduire les émissions de micropolluants dans les milieux naturels, d’améliorer la collecte des eaux usées par temps de pluie.
LADISLAS WITANENE pense que l’hôtel de ville peut élabore un plan urbain de gestion des eaux usées pour limiter les maladies hydrique ici des eaux usées, diarrhée, cholera, fièvre typhoïde et même la malaria en sensibilisant les habitants sur les substances issues des eaux usées, l’identification des sites que traversent ces eaux usées ….
A Bukavu plus de 200 000 litres d’eau usée venues des ménages, coulent par jour dans les 20 quartiers en destination du lac-Kivu dans l’ignorance totale des autorités qui devraient penser la solution de traitement pour la réutilisation selon toujours la société civile environnementale.