Goma : L’épice KARUHO(poison) en étude dans une grande université de l’Ouganda.

Diverses formes d’empoisonnement au Karuho sont un mystère traditionnel commun et un défi de santé publique dans la ville de Goma, au Nord-Kivu en RDC, pratiquées par des personnes sans scrupules.

 Ses signes et symptômes sont souvent confondus par les communautés locales et le monde médical avec ceux de la tuberculose, du VIH/SIDA et de la fièvre typhoïde ; avec des symptômes neurologiques et psychologiques. Une étude a examiné la toxicité subaiguë du poison Karuho sur le cerveau de rats albinos Wistar. 

Une étude expérimentale en laboratoire a été menée au Département de pharmacologie et de thérapeutique du Makerere University College of Health Sciences. 

Un total de 4 poisons Karuho (OMGKRP, DLNKRP, CHKRP et BHKRP) ont été examinés pour la toxicité aiguë et subaiguë. 

Cinquante animaux, 10 dans chaque groupe ont reçu quotidiennement pendant 28 jours 1 mg, 5 mg, 20 mg et 5 000 mg/kg de poids corporel d’OMGKRP (le plus actif après le dépistage) et une solution saline normale pour le groupe témoin selon les directives de l’OCDE 407 et du NIH 2011. 

Des changements de comportement ont été notés. Les changements histopathologiques dans les régions du cerveau ont été analysés. Les rats traités par l’OMGKRP, le poison de Karuho le plus actif, ont été associés à des signes de dépression, d’horripilation et d’essoufflement. 

Les changements histopathologiques ont révélé une congestion diffuse modérée et une infiltration de cellules inflammatoires mononucléaires (plasmocytes, lymphocytes et macrophages) dans la région cérébrale avec une inflammation sévère observée dans les méninges du cervelet.

 Le poison OMGKRP a induit une inflammation des méninges de la région cérébelleuse du cerveau. le poison Karuho le plus actif, étaient associés à des signes de dépression, d’horripilation et d’essoufflement.

 Les changements histopathologiques ont révélé une congestion diffuse modérée et une infiltration de cellules inflammatoires mononucléaires (plasmocytes, lymphocytes et macrophages) dans la région cérébrale avec une inflammation sévère observée dans les méninges du cervelet.

 Le poison OMGKRP a induit une inflammation des méninges de la région cérébelleuse du cerveau. le poison Karuho le plus actif, étaient associés à des signes de dépression, d’horripilation et d’essoufflement.

 Les changements histopathologiques ont révélé une congestion diffuse modérée et une infiltration de cellules inflammatoires mononucléaires (plasmocytes, lymphocytes et macrophages) dans la région cérébrale avec une inflammation sévère observée dans les méninges du cervelet. 

Le poison OMGKRP a induit une inflammation des méninges de la région cérébelleuse du cerveau.