RDC : Internews annonce un projet de formation des femmes sur la protection numérique
Les attaques et harcellements numérique à l’égard de la femme congolaise trouveront de stratégies de riposte a annoncé madame PASCALINE FAIDA coordinatrice de internews au Sud-kivu lors de la 4ieme éditions de la foire des femmes de medias tenue dans la ville de Bukavu le vendredi 17 Mars 2023.
Partant du constat selon lequel plusieurs femmes se sont retirés du numérique et d’autres ont décidé de quitter la region suite aux insultes et plusieurs autres harcellements numérique,l’internews envisage une solution déjà expérimentée en Ouganda.
« Depuis 2017 en Ouganda, nous avions lancé le projet de la protection numerique et de l’information en faveur de la femme car on a constaté que la femme n’était pas suffisamment outillées sur usage du numérique. ce projet sera bientôt lancé ici en RDC. » a révélé madame la coordonnatrice d’internews à Bukavu.
Le thème développé est la : « Participation des femmes des médias du Sud-Kivu à la résolution des conflits, à la cohésion sociale et aux élections : apport des technologies de l’information et des médias » a été développé par les panelistes qui ont regretté le faible taux d’usange du numérique par les femmes congolaises.
« Le taux d’utilisation du numérique par la femme congolaise vascille entre 17 et 19% a renseigné le professeur Arnold NYALUMA avant de constater avec d’autres chercheurs que la législation à la matière en RDC est obsolète suite aux violences numérique. »
Une raison pour inciter les femmes journalistes à s’impliquer à fond pour bénéficier des opportunités qu’offrent les NTIC.
Le gouvernement congolais fait des efforts pour protéger la femme contre ces harcellements, a signifié Béatrice Kinja MWENDANGA commissaire provincial du genre et représentante du gouverneur a.i de la province a ces assises.
L’association des femmes des médias organisatrice de cette messe des femmes de medias n’a cessé d’interpeller les femmes a dénoncé aupres de ka justice les acteurs de harcèlement numérique car c’est une violation des droits humains.