RDC : L’attirance physique des femmes étrangères facilite la surconsommation de la bière dans les villes de Goma et Bukavu.
Les noms dans cet article sont d’emprunts
Depuis plus d’une décennie des femme et filles rwandais, burundaises, ougandaises et même des kenyanes..font de travaux de premières mains dans les boites de nuits, terrasses, restaurants et même dans les shops de ventes de téléphonies.
C’est une main d’œuvre très moins couteuse dans un pays à la diversité des taxes, a laché Franck patron d’une boite de nuit de célèbre de la ville de la ville de Bukavu qui compte plus de 5 femmes du Rwanda et burundi dans sa boite.
Plusieurs services étatiques passent par jour et chacun part avec sa somme d’argent. Cette attitude de notre état nous poussent a recruté ceux-là qui coutent moins chers et d’autres travaillent gratuitement même car elles ont ne fusque besoin de l’adresse professionnelle continue notre interlocuteur.
Nos filles de Bukavu ne rêvent pas loin et certaines ne sont pas attirantes et animés d’orgueil pour accueillir les clients. Quand nous faisons recours aux filles rwandaises et burundaises, soudanaises et même des kenyannes ; c’est parce qu’elles sont non seulement belle et mettent nos clients à l’aise. Je ne sais pas non plus dire qu’elles attirent. Car il y a de ces clients qui fuient une fois qu’ils constatent que la fille cible n’est plus dans ton affaire, rapporte James un tenancier d’une terrasse située en pleine ville de Goma .
La main d’œuvre étrangère domine, les locaux sont-ils réellement oisifs.. ?
Abordant la question de ce que coute une fille étrangère qui travaillent dans ces business ; nombreux patrons se montrent très prudents mais d’autres brisent le silence, ‘’ une fille burundaise la moins payée le mois vaut 30 dollars américains, une rwandaise jusqu’à 50 dollars. Mais tout dépend de la beauté qu’affiche la personne et et son expérience avec des boites de nuits ou des restaurants. La plus chers travailleur va jusqu’à 100$ le mois et pourtant pour des congolais la moins couteuse vaut 50 et la plus couteuse 150 dollars.’’
Cette disparité salariale démontre combien ces étrangères dominent les natives qui sont qualifiées d’ailleurs des oisives par certains patrons.
Nous sœur en majorité sont caractérisées par un orgueil devant les clients, nous avions perdu nombreux clients avec ces comportements. D’autres ne concourussent pas à la propreté comme les etrangeres et de leur corps comme de la table qu’occupe les clients témoigne Alain gérant d’un restaurant dans la ville de Goma.
Avec de ristourne que la societe bralima donne à ses clients qui ont plus vendus qui ne peut jouer avec des nouvelles strategies pour maximiser ?
La notion de la sécurité attire –t-elle, les tenanciers de terrasse, boite de nuits, nganda, restaurants….. ?
Dans la ville de Bukavu des acteurs de la société civile avaient plusieurs fois alerté sur la non reconnaissance des identités de ces hommes et femmes qui servent dans les coins ci-hauts cités sans réponse des autorités compétentes a signifié julien NAMEGABE président de sous noyau de la société civile NKAFU dans la commune de Kadutu.
‘’ Nombreuses de ces femmes et jeunes filles sont soupçonnées qu’elles sont agent des renseignements rwandais au congo. On ne doute pas de la sécurité car des informations à notre possession est que certaines de ce femmes Rwando et burundaises mettent même au monde avec des congolais conscients. Ces enfants revendiqueront un jour la nationalité congolaise et là on ne saura pas refusé. On doit prendre cette question avec rigueur. Et demande aux congolais d’être vigilants.’’
A goma la situation est pareille également ; ‘’Tu verras un papa de plusieurs enfants sortir avec une jeune rwandais, burundaises, soudanaises et même des kenyanes, il loue une maison et fait des enfants avec au détriment de sa femme.’’ rapporte monsieur SAASITA de la société civile qui craint le pire à la longue.
La question tarrode également dans les têtes des autorités urbaines et municipales de deux villes voisines de l’Est de la république démocratique du Congo. ’’Nous avions déjà abordé cette question plusieurs dans le conseil des sécurités urbains mais le constat est que nombreux parmi eux n’ont pas des papiers pour travailler au Congo. On se pose la question comment ils (elles) traversent les frontières et on finish on comprend que c’est notre DGM qui ne suit pas bien la question mais nous avions plusieurs arrêtés des mesures de leur identifications pour savoir qui fait quoi, où, comment et pourquoi’’ a révélé à www.bkinfos.net le bourgmestre de la commune d’ibanda dans la ville de Bukavu pour soit traquer ou le remettre en ordre.
Dans la ville de Bukavu de rumeurs renseignent qu’il y aurait des rwandais qui passent nuits dans les chantiers en constructions au lieu de traverser la frontière aux heures tardives et cela depuis la fermeture de la frontière vers 15 heures locales.
La notion de la santé de ces personnes est constamment au menu des discussions des autorités qui exigent dans les deux villes aux tenanciers de postes de travail de ces derniers à connaitre leur état sérologique.
La production de la bière en RDC atteint le record de 4,053 millions d’hectolitres en huit mois en république démocratique du Congo au cours de l’année 2022 selon la banque centrale.