Sud-kivu : Deux partis politiques ont déjà signé le contrat social du peuple congolais avant les éléctions
L’Union pour la nation congolaise UNC et le parti qui accompagne la candidature de Dr Denis MUKWEGE ont déjà signé le contrat social qui est un document élaboré par les mouvements citoyens et plusieurs autres organisations de la société civile de la république démocratique du Congo.
Ces partis ont accepté de combattre le système des prédations politiques notamment la réduction de trains de vie politique et rendre publique la situation de patrimoine économique de leurs membres en RDC comme à l’étranger a dit devant la presse monsieur FIACRE LEXI ce 27 septembre 2023 à Bukavu.
Le contrat social de l’organisation PONA CONGO revient sur les engagements de ne pas présenter un membre de sa famille qui n’a aucun engagement politique comme suppléant, ainsi que la présentation à la base de ses rémunérations politiques tout en rejetant les rémunération non déclarées.
Ce document élaboré après une consultation populaire lors de 200 échanges citoyennes, a comme motivation de germer les graines du changement et rallumer la flame de l’unité nationale en république démocratique du Congo où une classe politique gère le pays comme elle veut.
FIACRE LEXI a demandé aux chevaliers de la plumes de vulgariser ce document pourque tous les candidats et futures élus connaissent ce que le peuple attend d’eux.
Ces consultations qui ses sont faites dans 24 communes de Kinshasa , 35 villes de l’intérieur du pays ont été faites par 1300 points focaux qui ont organisé des tribunes d’expressions populaires, avec des taximens, des personnes handicapées, des étudiants , des mamans maraîchères , la diaspora congolaise de paris et Bruxelles.
Pona Congo qui est un consortium des organisations de la société civile pense que la signature de ces documents est le début de la transparence de la gestion politique car ce contrat social détermine et éclairci les vœux du peuple.
L’élaboration de ce document est parti des 3 problèmes sociaux issus des consultations effectuées notamment la mauvaise gestion du pays par ses dirigeants selon 85% de la population congolaise, l’absence de la politique sociale avec 81 % ainsi que 79 % des congolais qui pensent que la corruption est la base de la destruction du pays .
Ces enquêtes ont été financées par les pères jésuites de Kinshasa a -t-on appris des organisateurs de la conférence de presse
