Sud-Kivu : Un pas dans la politique, un pas dans la société civile (Dossier de rédaction)
‘’Je me suis inspiré de la méthode du député national Claude MISARE élu de la ville d’Uvira qui était membre actif de la société civile en même temps proche de Vital KEMERE qui lui a aligné sur la liste de ses alliés aux élections de 2018.’’ a dit à www. Bkinfos.net un acteur de la société civile de la ville d’Uvira qui requis l’anonymat et qui dit avoir emprunté cette voie pour son futur politique.
Dans la province, c’est devenue une tradition d’être un pied dans la société civile et un autre dans la politique,’’ il nous faut changer la classe politique et pour bien la changer il faut qu’on soit nécessairement dedans. D’où mon choix d’entrer dans APOCM de Olive MUDEKEREZA député national élu de walungu et le célèbre député provincial Albert KAHASHA qui sont sur la voie de passer dans une ville à électorat compliqué.’’ reconnait le futur jeune candidat à la députation provincial au Sud-Kivu Julien NAMEGABE qui est également président de sous noyau de la société civile à NKAFU dans la commune d’ibanda et membre du même parti politique que les deux députés précédemment cités.
Loin de ses acteurs cités, la donne reste celle de gagner le pouvoir et le conserver le plus longtemps possible enrichit Nicolas KYALANGALILWA interfédéral de LGD du parti de Matata PONYO MAPON au Sud-Kivu et ancien responsable chargé d’éthique au sein du bureau de coordination de la société civile du Sud-Kivu.
‘’ Quand on était dans le bureau de coordination de la société civile, des acteurs étaient divisés sur certaines questions des sociétés en défendant des intérêts politiciens. Il y avait constamment de quoique et à la fin on finissait toujours à comprendre que certains politiques achèteraient la conscience des uns parmi nous pour la protection de leur intérêt égoïstes ici en province et cela était connu de tous. Et je ne crois pas que cela a déjà changé raison d’ailleurs pour moi d’avoir choisi mon camp en s’alignant derrière Augustin MATATA PONYO ancien premier ministre qui a au moins conçu la politique du développement de la RDC. Je voyais que cela n’honoré plus les acteurs de la société civile. J’ai choisi la politique. Car c’est aussi la finalité des plusieurs acteurs de ces faitières créent du jour au lendemain ’’
L’autre acteur clés qui s’annonce comme candidat aux élections de 2023 et pourtant initiateur de la campagne ZERO élu réélu en 2018 , Jean Chrysostome KIJANA président de la nouvelle dynamique de la société civile NDSCI , sans donner sa position politique ; est allé s’enrôler sous la bannière de APOCM le temps que Bienvenue KARHAKUBWA qui fut également un acteur clés du bureau de coordination de la société civile est apparu en grande pompe avec le parti UCE d’un natif de Kabare nord.
La donne est déversée dans tous les 8 territoires où des acteurs de la société civiles surtout des présidents s’annoncent des candidats avec promesses des acteurs politiques et notables vivants de la diaspora de leur payer les cautions une fois que la CENI ouvre ses porte.
‘’ Nous attendons seulement le dépôt des candidatures, si non plusieurs entre nous ont des promesses des politiciens qui nous réclament pour leur emboites les pas. On bat battre campagne pour eux en échange de financement de notre participation aux élections ; Nos collègues acteurs de la société civile de la ville ont suffisamment avancé dans les clauses sur cette voie là et certains reçoivent même des petits financements déjà en posent des actions sur terrains. On a compris qu’on ne peut pas rester des éternels acteurs de la société civile.’’ a motivé un président territorial de la société civile qui attend le premier financement d’un grand notable de la société civile qui est un haut cadre politique dans le pays.
Les politiciens, recrutent-ils les acteurs des sociétés civiles ?
Dans les coulissent des faitières de la société civile, ces adhésions de ses membres dans les partis politiques sont entre encouragements et déceptions totale apprend-t-on de nos sources sures qui parlent d’une situation générale dans la province et cela crée des conflits en interne entre membres.
Certains s’alignent dernière les politiciens mais continuent à courir dernière des intérêts et projets des faitières des sociétés civiles dans sa diversités, témoigne un acteur clés du bureau de coordination de la société civile. D’autres (acteurs de la société civile) détourneraient même des projets de ces faitières ou les livrent au prix dérisoires aux politiques qu’ils servent. Situation qui créée des frustrations et conflits Apprend-t-on de cette source qui regrette que cela soit le motif principal qui a affaiblit les actions de la société civile au Sud-Kivu. « La guerre de camp à l’interne. »
Au sein des mouvements citoyens, c’est la même situation, courir dernière les intérêts politiques pour la survie des actions « je suis témoins oculaires de plusieurs don des politiciens auprès de certains mouvements citoyens qui dérangent dans les réseaux sociaux comme dans l’organisation des marches, ce sont d’ailleurs des marches monnayent d’avance par certains politiques de la ville comme ceux de la diaspora. C’est honteux car la vraie société civile n’existe plus . Avec des divisions le peuple ne va plus se retrouver.
Nos sources pensent que les faitières de la société civiles devraient être soit taxées comme des ONGS, soit comme des entreprisses privées pour légaliser les luttes.
Si quelqu’un sait qu’il est dans une lutte noble, il doit nécessairement dépenser pour ceux-là. En Europe les gens se cotisent dans la lutte pour sa réussite. Ils retirent même dans les économies de leur familles respectives mais chez nous les acteurs de la société civiles bénéficieraient régulièrement des dons venus des politiciens et au lieu que les politiques appellent pour solliciter leur participation c’est bien eux qui appellent jours et nuits. Certains politiciens retransferent même leur messages dans les groupes whatsapp en évoquant des dérangements. C’est honteux pour certains qui restent clouer dans ce cercle vicieux pour leur vies. En passant je salue l’initiative de madame la ministre de travail, emploie et prévoyance sociale Claudine NDUSI qui a arraché au conseil des ministres une loi qui réclame la taxe à certains organisations des sociétés civiles.
Dans les salons des acteurs de la société civile, certains acteurs se demandent comme les responsables laissent passer la situation qui justifieraient l’abandon du petit peuple par son acteur de lutte pour le bien être sociétale sans sanction ni avertissement.
Dossier à suivre