Bukavu : La société civile ne lâche toujours pas le projet PICAGL
Financé par la Banque mondiale depuis juin 2016, le projet PICAGL qui est déjà clôturé et attend la dernière cérémonie du 31 mai 2023 fait remords dans les chefs des acteurs de la société civile bureau urbain de Bukavu qui évoquent l’opacité dans la présentation des des résultats.
Il était prévu pour la seule province du Sud-Kivu 324 kilomètres des routes de desserte agricole, 2 400 hectares de casier rizole, 3 micros centrales et CDC de KIRINGI mais le constant est autres sur terrain rapporte la lettre adressé a l’inspecteur général des finances à Kinshasa.
Dans le même document il est signalé que 40 000 ménages devraient recevoir des boutures des maniocs sains sous égide de IITA et l’octroie de crédits à plus de 200 petites et moyennes entreprises.
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Ce dernier souligne que ce projet est financé à la hauteur de 150 millions de dollars américains par la banque mondiale et concerne le Burundi et la République Démocratique du Congo où les résultats ne sont pas visibles.
Il sied de noter que ce projet a été lancé le 07 mai 2008 dans la perspective d’augmenter la productivité de chaines de valeurs agricoles sélectionnées au profit des communautés locales dans la zone du projet Burundi et en RDC ainsi que renforcer une intégration économique régionale de ces deux pays.
Le bureau urbain de la société civile exige à l’IGF l’audit externe du projet PICAGL qui est projet du gouvernement congolais.
Le 29 juin 2020, c’était l’inauguration du bâtiment administratif des inspections de l’agriculture, pêche, élevage et développement rural bâtiment de 3niveaux qui a coûté plus de 517 000 USD et qui a plus de 40 bureaux, 3 grandes salles des réunions et sanitaires est la seule œuvre visible dans la ville de Bukavu.
