Goma : La police a arreté les assassins du 10 avril à l’entrée président

La ville de Goma, en République Démocratique du Congo, a été le théâtre d’actes criminels choquants qui ont semé la terreur parmi la population locale le 10 avril 2024.

Le jeudi 11 avril, la mairie a tenu une conférence de presse pour présenter une bande de présumés criminels, parmi lesquels figuraient trois militaires  FARDC et deux individus affiliés au groupe des Wazalendo. Ces individus étaient accusés d’être à l’origine de l’insécurité croissante qui sévissait dans la ville.

Les autorités ont indiqué que ces individus étaient impliqués dans des crimes graves, tels qu’un braquage meurtrier à l’entrée président   ayant coûté la vie à des civils innocents, ainsi que le meurtre de trois jeunes à Majengo. Ces actes odieux ont profondément choqué la communauté et ont mis en lumière l’urgence de prendre des mesures pour garantir la sécurité des habitants de Goma.

Le maire ad-interim, le commissaire supérieur principal Faustin Kapend_Kamand, a souligné l’importance de l’action des autorités pour identifier, arrêter et traduire en justice les responsables de ces crimes.

Cette démonstration de fermeté et de détermination dans la lutte contre l’insécurité a été saluée par la population, qui aspire à vivre dans un environnement sûr et paisible.

Ces événements tragiques soulignent la nécessité d’une coopération étroite entre les autorités locales, les forces de sécurité et la communauté pour prévenir de tels actes criminels à l’avenir. La justice doit être rendue pour les victimes et leurs familles, et des mesures doivent être prises pour renforcer la sécurité et restaurer la confiance au sein de la population de Goma.

En ces moments sombres, l’espoir réside dans la détermination des autorités à lutter contre l’insécurité et à garantir la protection des citoyens. La résilience et la solidarité de la communauté seront essentielles pour surmonter ces épreuves et construire un avenir plus sûr pour tous à Goma.

Mardi soir, trois autres personnes ont été tuées par balles. Depuis le début du mois d’avril, au moins 10 personnes ont été tuées par des hommes armés, renseigne la société civile.