RDC / Sénat : Le Fcc utilise le questeur Eric RUBUYE, pour destituer le vice-président Samy BADIBANGA NTITA .
Les couloirs de l’hémicycle de la Chambre haute du Parlement brouillonne sur le départ du ministre honoraire de la RDC et vice –président du sénat Samy BADIBANGA.
Depuis quelques heures de dollars américains équivalents à 100 mille circulent pour faire éjecter l’ancien Premier ministre du bureau écrit www.ouraganfm.cd.
‘’ les acteurs de la destitution de Samy BADIBANGA l’accuse la proximité au chef de l’état Felix TSHISEKEDI différemment du reste de membres du bureau de la chambre haute.’’renseigne L’organisation non gouvernementale « Le Congo en danger » .
Pour séduire les esprits faibles, 10 mille dollars américains ont été proposés par sénateur pour décourager l’ex premier ministre du Gouvernement des accords de saint Sylvestre.
L’organisation non gouvernementale « Le Congo en danger » cité par « Flash-Info », prévient dans un communiqué signé par son secrétaire général, Musafiri Molisho que le coup, serait monté au sein du sénat même depuis les membres du bureau.
‘’ Le péché de Badibanga, c’est de déjouer les plans de ceux qui en veulent au chef de l’État, Félix Tshisekedi. Et pour cela, il doit en payer le prix comme Kabund. Sa proximité avec le président Félix Tshisekedi, son refus de respecter le mot d’ordre de boycott de la cérémonie de prestation de serment des juges constitutionnels….’’ Sont les griefs majeurs reprochés au natif du Kasaï au cœur de la RDC.
L’organisation « Le Congo en danger » pointerait le questeur du Sénat, Eric Rubuye, d’être à la manœuvre en explique que la méfiance se serait installée entre les deux personnalités, au point où le gestionnaire des finances multiplierait des manœuvres pour faire partir Samy BADIBANGA du bureau.
‘’ le questeur aurait proposé le montant de 10.000$ par sénateur pour couler Samy Badibanga à travers une pétition qu’il aurait initiée à cet effet. L’argent est là. Il suffit de signer juste la pétition et vous touchez le pactole. Donc, la stratégie est simple. Le sénateur intéressé signe au préalable le document et illico, il se tape ses dix mille dollars. Le plan anti-Badibanga indigne. Il est fabriqué dans une chambre des sages où certains radicaux refusent d’admettre la mutation politique actuelle. L’union sacrée énerve. Et Samy Badibanga doit subir la fureur des anti-Fatshi. Le vice-président du Sénat est accusé de faire souffler le vent de l’union sacrée à la Chambre haute. Il est désormais l’homme à abattre.’’ Selon l’enque mené par son enquête le mouvement le congo en danger.,
« Le Congo en danger » condamne ces pratiques honteuses, fruit des anti-valeurs longtemps décriées dans le pays. L’organisation dénonce la corruption à ciel ouvert auprès de quelques sénateurs et appelés ce dernier à étouffer ce complot au moment où tous les Congolais font bloc derrière le chef de l’État.
Janvier BARHAHIGA
